La Suisse s’estime en mesure de réaliser un projet du siècle : le dépôt en couches géologiques profondes. L’acceptation de celui-ci est élevée, aussi bien dans la région concernée que dans l’ensemble de la Suisse. C’est ce que montre un sondage national.
« Nous avons besoin d’une solution », la scientifique Maria Marques Fernandes du PSI en est convaincue. « C’est pourquoi cette tâche est l’une des plus importantes que l’on puisse avoir actuellement en tant que chercheuse. »
Carmen Zwahlen de l’université de Berne explique pourquoi elle s’estime « chanceuse » de pouvoir exercer ce métier.
Stephan Wohlwend, géologue à l’EPF de Zurich, soutient la Nagra dans l’exploration du sous-sol : « je livre une petite pièce de puzzle qui génèrera quelque chose d’utile pour l’avenir. »
Géraldine Zimmerli est passionnée. Passionnée de géologie. Une qualité qui aide la doctorante de l’université de Fribourg à accomplir un travail très complexe.
Göschenen et le Gothard. Pour la troisième fois de son histoire, ce village idyllique dans la vallée de la Reuss subit un chantier de grande envergure. Nous discutons ici avec le président de commune Peter Tresch.
L’ingénieur des mines de la Nagra, Thorsten Steils, explique dans une interview comment les déchets radioactifs peuvent être récupérés d’un dépôt en couches géologiques profondes.
Il y a six mois, nous avons fait une proposition de site pour le dépôt en couches géologiques profondes. Depuis, tous les yeux sont rivés sur la région d’implantation prévue pour ce dépôt en profondeur. Comment les gens réagissent-ils ?
Il est prévu de construire le dépôt en profondeur suisse près de la frontière allemande. Une bonne communication entre les deux pays s’avère donc nécessaire. Comment s’y prendre ?